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Yoshiko

Rappel :

Yoshiko Fujisawa => Jenny  
Hôkkaido => nom de l'équipe à Hikaru en japonais.
Hikaru Matsuyama => Philip Callahan

*

Auteur  : Mel
Disclamer  : Sont pas à moi !
Genre : Romance, pov, drama, one shot.
Couple  : Yoshito et Hikaru.

Résumé : Hikaru déprime depuis que Yoshiko est partie pour la France à cause du travail de son père.

Yoshiko
[ Pov de Hikaru ]

            Depuis que Yoshiko est partie pour la France avec son père, je ne sais plus pourquoi je vis.   Malgré tous les efforts que je fais, je n'arrive pas à sortir de ce puit sans fin, dans lequel je suis enfermé depuis plus d'un mois. Plusieurs de mes amis sont passés pour me remonter le morale mais même Jun, qui est mon meilleur ami, n'a pas réussit. Depuis lors, je suis assis là, dans un coin de ma chambre, contre un mur à me lamenter sur mon sort. Je sais que je devrais réagir, mais dès que mon regard se pose sur sa photo sur ma table de nuit, je sens une telle tristesse monter en moi que je m'effondre à terre. Elle ne m'a même pas appelé depuis qu'elle est partie...
            J'attends toujours son coup de fil, sûrement en vain. Elle a dû m'oublier, ayant trouvé une équipe bien mieux que la Hôkkaido à soutenir. On dit que les joueurs français sont très fort, peut-être qu'elle est tombée amoureuse de l'un deux. Quelques secondes après avoir pensé cela, je me mets un coup sur la tête pour reprendre mes esprits, je ne dois SURTOUT PAS penser ça. Tout ce que je vais y gagner c'est avancé dans la déprime. Quoique... j'ai déjà l'impression d'avoir touché le fond. 
            Personne ne peut comprendre ce sentiment qui m'assène le coeur chaque jour qui passe. Je serais prêt à donner ce que j'ai de plus cher au monde juste pour entendre sa voix et lui dire que je l'aime...
            Les larmes que je croyais sèche depuis bientôt deux heures se sont remises à couler en rafale. Je sais que j'ai l'air bête à pleurer pour une fille, on me l'a reproché un nombre incroyable de fois mais je n'arrive pas à calmer cette douleur.   Mes coéquipiers s'inquiètent vraiment pour moi, Genzo a même fait le voyage pour venir me parler. Bien que nous n'ayons jamais eu de véritable discussion, j'ai écouté ce qu'il avait à me dire. Je me suis senti un peu mieux après, mais la déprime à vite refais surface à son départ.   Tsubasa aussi est venu me voir, malgré qu'il soit encore blessé, il a pensé à moi. Mais j'ai fait comme avec les autres, la porte de prison... Je sais que ça l'a rendu triste mais je n'ai pas réussi à parler, essayant de contenir les sanglots dans ma gorge. Tous essayent de me faire relever la tête mais je n'y arrive pas, je ne sais plus quoi faire. Arrêter le foot ? Peut-être est-ce la seule solution après tout...

*

Ce matin, alors que je venais à peine de m'éveiller, Jun m'a réveillé et m'a obligé à me lever pour sortir de ma chambre. J'ai refusé mais il m'a frappé... C'est la première fois que je reçu un crochet de sa part, je cru un instant être encore en train de dormir mais non, j'étais belle et bien réveiller. Jun me tendait d'ailleurs une lettre de la Fédération nationale de Football me prévenant que j'avais été prit dans l'équipe Japonaise. Sur le coup, je ne réagis pas, ce n'est que quand Jun m'a prévenue que la coupe du monde se déroulait en France que mon regard s'est illuminé. J'allais revoir Yoshiko, j'allais tout lui avouer.   L'espoir remontait en moi.
En quelques minutes j'avais fait mon sac et partais avec Jun pour l'Aéroport.   L'appréhension prit bientôt place dans mon esprit. Et si elle m'avait oublié ? Préférant quelqu'un d'autre ? Comment va-t-elle réagir en me voyant ? Va-t-elle être contente ? En colère ? Je n'en sais rien... J'aimerais tant répondre à toutes ces questions ! A peine arrivé à l'Aéroport, Jun m'emmène jusqu'à la sélection. Aucun d'eux ne fit de commentaire en me voyant, j'ai perdu beaucoup de poids, je semble faible, mais je tiendrais le coup et aiderais l'équipe car nous allons gagner cette coupe du monde ! Jun me fit un sourire encourageant avant que nous avancions jusqu'à l'avion privé qui nous attendait. 
Je m'installe vite sur un siège, demande le disque man à quelqu'un, met de la musique dans les oreilles, et m'endort presque immédiatement.

*

Cela fait plusieurs matchs que nous avons menés et je n'ai toujours pas vu Yoshiko, mais où est-elle ? Dite moi ! Depuis mon arrivée, j'ai repris un peu de poids et surtout, les entraînements. En m'entraînant 9 heures sur 24 j'ai réussit à perfectionner mon tir de l'aigle. Je ne garantie pas qu'aucun gardien ne pourra l'arrêter, je sais que Genzo et Ken, eux, pourrons sûrement. Je passe mes 9 heures chaque jour en compagnie de Genzo qui me donne des conseils et me remonte un peu le moral. Je dois admettre que c'est grâce à lui que je peux, à présent, remonter la pente. Il est devenu comme un grand frère qui me protège. Pourtant nous avons le même âge, mais il semblerait que les derniers évènements m'aient...changé ? Oui, il n'y a pas d'autre mot.  
Hier, je me suis promené dans la rue, espérant ainsi la voir, mais elle n'y était pas. A un moment, mon coeur loupa un battement, je cru la reconnaître et m'avançai vers elle à toute hâte. Les larmes m'étaient montées aux yeux en m'apercevant qu'il ne s'agissait que d'une simple supportrice...
Bien sûr, j'ai longuement été abattu après cela mais Genzo et mes autres coéquipiers m'ont encore une fois remonté le moral.

*

Je l'ai vu !! Yoshiko est là ! Je suis en train de la saluer ! Ma Yoshiko, le penalty que j'avais tiré t'était dédiée et depuis que nous saluons le public en le remerciant, je te vois en face de moi.   Mon coeur est gonflé de joie, tu me fais un grand sourire, toute crainte s'est envolée, je suis heureux ! Un grand sourire est affiché sur mes lèvres depuis qu'elle est apparue.
Ma tête me tourne tant les sentiments que je ressens sont fort à son égard. Je lui crie que je l'aime, mais avec le bruit de la foule, elle n'a sûrement pas entendu et continue à sourire. Ce n'est pas grave, je lui dirais tout à l'heure, lorsque je serais sorti des vestiaires.

*

A peine sorti des vestiaires, je me dirige vers elle. Yoshiko me saute au cou me disant par la même occasion qu'elle m'avait manqué. Si elle savait à quel point elle m'avait manqué à moi aussi. Lorsque des larmes commencent à couler le long de ses joues, j'en essuie une avant de déclarer :

- Il ne faut pas pleurer Yoshiko...

- C'est tellement injuste de devoir s'éloigner de la personne qu'on aime, murmure-t-elle.

Ses mots suffirent à me faire prendre conscience que nos sentiments étaient partagés. Doucement je la pris dans mes bras, la consola, lui murmurant que plus jamais je ne la quitterais, que c'était trop dur de vivre sans elle et surtout, que c'était la femme de ma vie. Pour certaine personne cela doit être dur à comprendre que je lui dise ça mais Yoshiko est et restera la femme de ma vie. Je l'aime, elle m'aime, je suis le plus heureux des hommes.

- Ne pleure plus... Je suis là, que pour toi, car je t'aime Yoshiko...je t'aime...

- Moi aussi Hikaru...

*

Trois semaines se sont déroulées depuis que j'ai revu Yoshiko. Depuis lors, nous avons gagné la coupe du monde et vaincu le Kaiser Allemand. Il y avait une telle effervescence quand nous avons gagné, c'était incroyable. Le moment le plus beau fut sûrement lorsque Roberto est entré sur le terrain pour dire à Tsubasa qu'il partirait au Brésil. C'était la première fois que je le voyais pleurer et croyez moi, cela fait un choc. J'étais heureux pour lui, heureux parce que nous avions gagné la coupe et aussi heureux que j'avais retrouvé Yoshiko. Rien ne pouvait plus me rendre triste.
Depuis la fin de la coupe du monde, je vis en France avec Yoshiko dans un petit appartement que nous partageons tous les deux. Moi je suis entré dans une équipe renommée et elle travaille dans une école pour les enfants handicapés. Tous deux vivons heureux et nous n'avons pas vraiment l'intention que cela change.  


De plus, hier, Genzo est venu nous rendre visite. J'étais si content, mon « frère » venait me voir.   Nous avons passé une journée excellente, nous faisans des passes, des tirs et ainsi de suite, comme au bon vieux temps.


Ces évènements nous ont tous rapproché. Genzo est devenu comme mon frère, j'ai renoué des liens avec les membres de l'équipe et surtout, j'ai retrouvé Yoshiko. Que demander de plus si ce n'est d'un jour avoir des enfants de la femme de ma vie ?

*Fin*

Samedi 23 octobre 2004 => 23 h 20

Bon, j'ai inventé des évènements, mais je pense qu'on s'y retrouve un minimum quand même. C'est l'une de mes première fanfic Olive et Tom   et pour une fois, je suis à peu prêt contente de moi. Si vous avez un commentaire, je suis prête à tout entendre.

Voilà, et pour ceux qui ont lu et bien merci.

Mel

 

 

 

 

 

 
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