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Le premier amour de Genzô

Chapitre 9  : Avec toi, j'ai confiance ...

Le lendemain matin, Genzô réveilla Nadia :

-  Bonjour petite marmotte, faut te réveiller, dit il gentiment.
-  Gen...Wakabayashi, bonjour, comment vas-tu ? dit elle sur un ton très aimable.
-  Très bien et toi ?, s'exclama t'il tout en s'asseyant à côté d'elle sur son lit
-  Mouais, souffla t'elle tout en se blottissant dans ses bras.

Elle tremblait et Wakabayashi ne savait pas pourquoi, peut-être avait elle prit froid la veille.

-  Ça ne va pas ? demanda t'il inquiet.
-  Oh, j'ai du trop manger, mentit elle.

Durant toute la journée Nadia ne mangea pas beaucoup, mais Wakabayashi ne se doutait de rien. Il était trop occupé à se remémorer l'instant durant lequel, le corps tremblant de la jeune fille se trouvait dans ses grands bras. Pourquoi s'était elle blottie dans ses bras, avaient ils rompus, Romain lui avait il fait du mal, ne pouvant accepter ces possibilités, il conclu que la jeune fille était fatiguée, tout simplement.

L'heure de l'entraînement quotidien avec Romain arriva, Nadia l'attendait un peu avant. Romain s'exclama :

-  Salut, ça va ? Tu sais pour hier, je voulais m'excuser ça ne se reproduira plus. Je me suis conduit comme un abruti j'espère que tu me pardonnes !
-  Tu as de la chance je ne suis pas rancunière, dit elle d'une voix tremblotante.

Est ce qu'elle l'avait pardonné, la phrase de la Parisienne resta peu explicite pour Romain et elle ne lui adressa pas la parole de plus lorsqu'elle lui tendit une bouteille d'eau elle ne pu s'empêcher de trembler et malheureusement pour elle ; Genzô le remarqua :

-  Tu trembles ça ne va pas ?
-  Oh c'est juste que les bouteilles sont froides, menti t'elle !

Mais le Japonais n'était pas dupe, au bout de 2 mois il commençait à la connaître : il savait que lorsqu'elle lui mentait, ses joues s'empourpraient ! Il fit comme si de rien n'était. Il avait aussi remarqué que le regard de la jeune fille semblait éteint face à Romain. Elle semblait effrayée comme lorsqu'il l'avait réveillé un matin et qu'elle avait crié « papa ? » Quelque chose avait du se passé, non elle était sûrement fatiguée de se coucher tard tous les soirs.

Romain s'apprêtait à partir mais invita à nouveau la jeune fille.

Selon sa réponse j'en aurai le coeur net...

-  On dîne ensemble, ce soir ?

La jeune fille se tourna vers Wakabayashi, avec un regard suppliant :

-  Gen... Wakabayashi, tu dois goûter la cuisine française, ça me ferait plaisir, allez dis oui !

Grrrr ce Waka...

Avant même que Genzô eu le temps d'ouvrir la bouche, Romain s'exclama :

-   Non mais tu crois quoi tout de même pas que j'avais l'intention d'inviter le sumo, ton abruti aux poignets cassés pas capable d'être indépendant et qui...

Romain n'eut pas le temps de finir sa phrase que Nadia le gifla, et dit sur le ton de la colère :

-  Comment oses-tu ? Tu devrais avoir honte.
1)  traiter un Japonais de sumo, c'est raciste !
2)  Genzô est mille fois plus beau que toi. Sa classe est naturelle, majestueuse, pas calculé comme toi dans le but de draguer
3)  C'est un garçon respectueux et non OBSEDE
4)  Si tu le traites à nouveau d'abruti aux poignets cassés ; je te jure que je te brise les poignets pour le restant de tes jours !
Maintenant dehors !

-  Je te rappelle que je suis chez mon coach !
-  Tu veux jouer à ça, dit elle, ok ; je suis chez l'oncle et la tante d'une de mes meilleures amies, dans le cas où tu croyais que j'étais une fille au pair !!! Alors je répète : DEHORS ! Si tu ne veux pas que je parles à ton coach d'hier soir !!!!

Hier soir, il s'était donc passé quelque chose pensa Genzô mais quoi... A présent que devait il faire, il ne pouvait pas la laisser s'énerver pour lui.
Le portier Japonais s'exclama calmement :

-  Calmes toi, Nadia. Ni lui ni moi ne t... le méritons.

Nadia le regarda et se perdit dans le regard serein de Genzô pour retrouver son calme. Entre temps Romain était parti mais une question restait en suspend dans l'esprit de Wakabayashi : que s'est il passé hier soir, je dois lui demander, aller courage !

-  Nadia, je peux te poser une question ?
Elle le regarda avec un air interrogateur.
-   Qu'est ce qui s'est passé hier soir ?


Elle hésita, que devait elle lui dire : je ne voudrais pas qu'il s'inquiète, oh ça ne risque pas...


-  Il a tenté d'aller trop loin, t'inquiètes pas !

Ça veut dire quoi aller trop loin, il a du échoué en tous cas, et puis je m'inquiètes pas...

-  Je ne m'inquiètes pas du tout, dit il très froidement.

Sa réaction étonna la jeune fille. Pourquoi avait il dit ça alors que sa question montrait que ça le préoccupait. Il partit se doucher laissant la jeune fille dans ses pensées.

Je ne le comprendrais jamais, ça m'avait fait un peu plaisir qu'il s'inquiète, je n'aurai pas du lui dire, mais avec lui c'est différent j'ai l'impression de pouvoir me confier...

Le lendemain se passa très bien et Nadia, tout comme Genzô, avait retrouver le sourire. Elle savait que plus rien ne pouvait lui arriver.

17h arriva, c'était le moment où Romain venait. Il arriva mais n'était pas en tenue de sport. Il se dirigea vers Nadia tandis que Wakabayashi était un peu plus loin sur le terrain. Romain salua la jeune fille :

-  Bonjour, je voulais m'excuser...
-  Ça devient une habitude, mais je ne suis pas idiote et...
-  Je le sais mais je voudrais te parler .

Voyant Romain au côté de Nadia, qui semblait mal à l'aise, Genzô décida d'aller les rejoindre.

-  Me parler ?
-  Oui, je veux que tu saches que je te trouve géniale et...
-  Abrèges ton discours de dragueur et va au but !
-  Tu voudrais bien recommencer à zéro et qu'on sorte ensemble...

Juste après qu'il eut fini cette phrase le jeune Japonais arriva.

-  Je ne pense pas que ça colle avec toi..., dit elle en le regardant

Puis elle se tourna vers Genzô

-  ... et comme je te l'ai dit...

Elle regarda Genzô droit dans les yeux, sachant qu'il n'y ferait pas attention et que pour les Japonais le regard a moins d'importance que pour les latins.

-  ... j'aime déjà quelqu'un d'autre..., son coeur battait la chamade.

Se tournant à nouveau vers Romain :

-  ... je suis désolé, j'espère que tu ne m'en veux pas.
-  J'ai très bien comprit, s'exclama Romain sur un ton très déçu.

Le Français repartit tête baissée, ayant vécu son premier échec amoureux, ayant été peut-être pour la première fois envoûté par une fille.

La phrase de la jeune fille, Wakabayashi ne la comprenait vraiment pas. Tandis qu'il se douchait ses pensées défilaient.

Pourquoi a t'elle dit ça, aime t'elle quelqu'un à Paris... mais elle m'a regardé alors ça voudrait dire... oh elle a du dire ça pour le faire fuir.

Nadia, elle, se demandait quel effet aurait cette phrase pour Genzô, sûrement n'y avait il pas prêter attention.

J'espère que Romain a comprit ! Et Wakabayashi comment va t'il réagir, va t'il être jaloux ou va t'il comprendre, oh je verrai bien...

Genzô venait à peine de sortir de sa douche lorsqu'il entendit.

-  AAHH, Wakabayashi !!!

Que se passait il, cette voix c'était...

Il accourut et vit Nadia tétaniser. Il regarda autour... rien

-  Mais qu'est ce qu'il y a, râla t'il.
-  Y'a y'a une énorme araignée sur mon lit, cria t'elle, tue la je t'en prie.


-  Mais elle ne t'a rien fait dit il sur un ton amusé.


-  Ça va pas tarder, hurla t'elle.

Il tue la sale bête (j'aime pas les insectes !!!) et rigola,

-  Tu as peur de ça, dit il tout en lui montra la bête écrasée.
-  Oui, sanglota t'elle.

Il ne pu s'empêcher de lui faire peur ; il lui chatouilla le bras, lui faisant croire à un insecte. Effrayée la jeune fille se blottie dans ses bras nu. Genzô l'observait : elle ne plaisantait pas ses bras étaient tout rouge, tout comme ses joues mais il ne se doutait pas que c'était la situation qui engendrait cela. Il était bien au près d'elle, il n'aurait jamais imaginé cela. Il n'aurait jamais imaginé que la peau de la jeune fille contre son torse serait si doux. Il ne voulait pas bouger, il sentait le souffle de la jeune fille contre sa peau, jamais il n'aurai pu croire qu'il se retrouve un jour si proche d'elle de cette façon, pourtant il l'avait sûrement rêver ! Nadia entendait le coeur du jeune homme battre à vive allure et elle sentait la respiration lente et calme du garçon. Ils étaient bien comme ça tous les deux, ils ne voulaient plus bouger, le temps s'étaient arrêter de couler. Elle frissonna, et Genzô pour rassurer la jeune fille caressa ses doux cheveux ondulés et encore humide.

-  Sèche tes cheveux, tu vas attraper froid, dit il d'une voix très douce.
-  Tu es mal placé pour parler, tu es torse nu, dit elle en rougissant, et ça n'est pas une tenue devant une jeune fille.

Il rougit, c'est vrai que cette situation pouvait sous entendre qu'ils étaient intimides mais ils s'en foutaient, ça ne regardait personne et seuls eux savaient.

-  J'ai accourue alors je n'ai pas eu le temps de me rhabiller.

Puis il lui dit sur un ton très rassurant, tout en la resserrant dans ses bras  :

-  N'ais pas peur !
-  Je n'ai pas peur avec toi, alors que les autres garçons me font peur. Malgré que je sois dans tes bras et ta tenue ; je me sens en sécurité. Avec toi, j'ai confiance.

Il la regarda perplexe, il ne comprenait pas pourquoi elle lui disait ça.

-  Je ne vais pas te manger tu le sais. Au fait pourquoi c'est moi que tu as appelé !

Elle ne le savait pas, elle avait fais ça instinctivement, elle mentie :

-  Je pensais que tu étais dans ta chambre, étant donné qu'elle est à côté, j'étais sûre que tu arriverais avant que cette sale bête n'avance trop.

Il était un peu déçu, il aurait espérer une autre raison mais quoi.

Les paroles de la jeune fille défilaient dans sa tête alors qu'ils ne s'étaient pas détachés l'un de l'autre, la sensation d'être enlacés étant trop forte. Il était assez fier qu'elle lui dise « avec toi, j'ai confiance ». Lui aussi avec elle et personne d'autre, il ressentait qu'il pouvait se confier et si son orgueil ne l'avait pas empêcher, il lui aurait dis « avec toi, j'ai confiance »...

 

 

 

 

 

 
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